Plus le temps passe, et plus Google se montre surprenant, tant dans les initiatives qu’il prend, que dans les rachats qu’il effectue. De Google Earth à la copie numérique de livres, en passant par la modélisation de Madison Avenue, ou la diffusion de vidéos, Google est sur tous les terrains, essayant par ailleurs de stopper la domination logicielle de Microsoft avec sa suite d’outils gratuits Google Docs & Spreadsheets.
Et pourtant, Google reste un moteur de recherche. Ses pages de recherche, ses hyperliens bleus réglés sur un doux fond blanc, ont fait de lui le site le plus visité, le plus profitable et indiscutablement l'entreprise la plus puissante d’Internet. Google est l’outil d’aide par excellence, capable de donner des réponses improbables à des millions d’utilisateurs dans le monde en un clin d’œil.
Mais parfois, l’utilisateur ne parvient pas à trouver ce qu’il recherche exactement. C’est pourquoi des centaines d’ingénieurs de chez Google triturent constamment le moteur de recherche afin qu’il puisse répondre au mieux aux demandes des utilisateurs. Ainsi, le géant de Mountain View est devenu le champion du « search quality » (qualité de la recherche, ndlr), un endroit qui compte des milliards de données classées que Google conserve comme un secret d’Etat. Très peu de personnes non habilitées sont autorisées à rentrer dans cette partie cruciale pour Google.
« La première valeur ajoutée de Google est son classement » explique John Battelle, le président de Federated Media, un réseau de blogs, et auteur de « The Search », un livre consacré au géant de la recherche. « Google est devenu le souffle vital d’Internet » continue John Battelle, « chacun se doit d’y appartenir ».
Ainsi, Google continue son évolution concernant la recherche, améliorant de jour en jour son outil.
Publié le lundi 4 juin 2007 (Archivé le mercredi 4 juillet 2007)
Ecrit par Emilien Ercolani
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